Maison en paille 8, on monte...

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 Au fur et à mesure des jours, les pièces de bois s'assemblent.

Les murs sont assemblés à plat et relevés parfois avec la pluie...

Enfin le soleil. Les assemblages traditionnels sont réalisé,

Puis les pièces sont misent en place.

La piece la plus grosse est moisée pour permettre une manutention plus simple

L'objectif était que tout soit manuportable. C'est un peu physique mais jusque là tenu.

La partie "traditionnelle" qui sera visible à été usinée et montée un jour ou j’étais seul.

C'est quand même plus sympa, rapide et moins fatigant à deux, trois...

Cela commence à ressembler à une maison.

Au premier plan, l'entre axe est d’après les calculs le double de la partie au second plan (la portée est différente).

Ayant un peu de bois en plus, je ne me suis pas gêné pour double aux emplacement de la baignoire et de la cloison.

Entre les solives, les entrésillons font bien leur travail de rigidification.

Entres les feuillards, les écharpes et les planchers, la "boite à chaussure" est refermée et ça se sent, c'est agréable

Le deuxième niveau à le même aspect, il reste quelques solives et l'OSB à mettre, puis la charpente.

Pour l'instant, une trappe provisoire permet de changer de niveau en attendant les escaliers définitifs.

Merci à tous pour cette avancée.

 

 

 

 

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Maison en paille 7, L'ossature bois.

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Après une mise en route en chantier participatif encadré par Emmanuel (OIKOS), le premier mur est terminé, merci a tous les participant, c'était top.

 

Samedi, c'est Romain qui me donne la main et on se monte les deux retours du pignon plus la demi facade de la porte d'entrée.

Aujourd’hui mardi, je fini le dernier demi mur.

je suis seul mais je vais vous montrer comment je m'y suis pris.

 

Après le montage au sol, j'ai mis les feuillards en place, puis j'ai attaché deux sangles  à la lisse basse pour ne pas la voir riper pendant le levage.

J'ai utilisé un tire fort et un bois de renvois pour le relevage du pan de mur.

Il m'as fallu 5h, pour que les bois en tas au pied de la maison soit découpés, assemblés, relevés et stabilisés.

C'est pas super productif, mais seul et compte tenu de la hauteur, c'est pas si mal...

 

Chaque pan de mur est en deux parties, d'environ 200 à 250 kg.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Maison en paille 6, ossature bois.

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Enfin, le béton est coulé et mes premiers 16 mètres cubes de douglas sont arrivé.

Merci à Emmanuel pour les guidage en conception, à Pascal pour les dimensionnements des sections, à mon papa pour la mise en œuvre, et à Léa pour la gestion Logistique, quand je suis dans mes bout de bois, il ne faut pas me demander de préparer un repas.

En image, le 27 juillet en fin de matinée....

Seule la sabliere coté garage est déposée sur les arases beton en attendant d'etre fixée.

 

Le soir...

Bon il en manque un peu mais on a déjà monté environ 1 tonne de bois à 3,5 m du sol.

Ca ira pour ce jour.

Récap :

Le jeudi à 8h on a coulé les murs, merci BML.

Le vendredi à 14, le douglas arrive, super bien scié par une famille super sympa, La scierie Dulac, à Cublize, et déposé aux petit oignons sur le terrain par Les transports Glattard.

A 17h, c'est les OSB de 22 que je ramène de chez JPB, sur Gleizé.

Jusque là, on travaille en ''local''.

Après un samedi à fignoler des arases béton nickel (ma précision d'ancien ébéniste qui ressurgi parfois...), le dimanche commence par la préparation de l'EPDM pour bloquer les remontées capillaires entre les murailleres et la maçonnerie. (EPDM chez'' tendance aquatique'', à ANSE).

Puis c'est la mise en œuvre des bois à proprement parler, je respire enfin.

 

Section 22 x 10 cm, entre axe 29 cm, c'est du costaud mais j'aimerais un plancher chauffant alors les calculs donnent cela.

Les murailleres sont tenues au murs extérieurs par des tiges filetées de 16 qui travaillent en cisaillement.

Le refend est surmonté d'un EDPM, lui même recevant la sablière que repose a plat et qui reçois des bois de 4,2m d'un coté et 3,2 m de l'autre.

 

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Maison en paille 5, les murs béton de soutènement.

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 Les fondations sont coulées, les ferrailles toutes plantées, les murs peuvent pousser.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Avec le mur de soutenemement en limite de propriété, et l'obligation de travailler en béton banché compte tenu de la hauteur, les solutions s'amenuisent.

 

Certe un mur en pierre serait sympa, mais le budget, le temps et l'épaisseur dispo sont insuffisant.

On ne peut pas que regarder la faisabilité technique, mais aussi le prix, la simplicité de mise en oeuvre...

On connait tous les banches qui permettent de couler les immeubles de nos villes, et qui sont déplacée par des grues.

J'ai n'ai que quelques centimètres entre l’arrière de mon mur de soutènement et la terre.

D'un point de vue logistique, l'idée de banches légères  me plaisait, par rapport à la masse et au volume à ne pas déplacer, coté écologie... tout le monde n'aime pas l'idée des banches perdues.

 

J'ai trouvé des banches réalisée à base de fibres de bois liées (donc réalisées à base de chutes de bois et d'une résine type PP).

Ce produit, inventé et développé par une entreprise de la région, est parfaitement adapté à mon besoin., je les prend par 4 pour monter en haut de mon échelle, un maillet à la ceinture et c'est faisable a 4 mètres du sol sans aucun problème.

 

 

 

 

Un cousin de ce produit, réalisé en plastiques issus de déchets industriels (ordinateur, voiture) est présenté dans ce lien :

http://www.cicabloc.com/

Mes murs de soutènement et ceux du garage seront réalisés avec ce produit, qui est un jeu d'enfant a mettre en œuvre. D'un aspect bois, il est recouvrable d'une double peau type bardage, les joints des banches servant de chevilles pour les liteaux. Pas de besoin de sortir le perfo, la visseuse est suffisante.

Pour ce projet, l'enduit étant de rigueur, il me reste a faire quelques essais pour faire tenir mon enduit fausse pierre.

Je réserverais une page a cette mise en oeuvre un peu particuliere.

 

 Le garage est monté, je peut commencer à monter les murs de la partie habitation. Toujours obligé de travailler en béton banché, l'idée des banches isolantes pour pouvoir être dans mon garage sans chauffage me plaisait.

Comme les banches du garage, c'est du légo, seul inconvénient, c'est du polystyrène. Coté énergie grise, c'est pas le top, mais la paille enterrée, ça ne fonctionne pas longtemps.

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Maison en paille 4, la phase fondations.

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Le sol est fait d'argiles gonflantes, ce qui signifie qu'il est très instable, hygrometriquement et donc dimensionellement.

La première étape est donc un bon drainage du sol.

 

Les fondations doivent être de 150 cm (source étude de sol).

Pour une largeur de godet de 40 cm, cela fait un joli volume de béton, surtout quand les bord s'écroulent un peu, ont est vite a 60 cm.

Un bon ferraillage s'impose,et compte tenu de la longueur, il est préférable de se faire livrer.

 

 

Une fois mis en oeuvre c'est plutot joli a regarder, Merci Christophe pour les conseils sur la mise en oeuvre de la matière.

 

Ce travail terminé il ne reste plus qu'a couler.

 

Compte tenu de la configuration, la pompe est de rigueur.

Ell arrive a 8h du matin, repars vers 11h 30.

Entre temps, c'est près de 50 mètres cubes de béton qui vont s'écouler.

Le controle de niveau est fait à la pige et au niveau laser rotatif.

Il reste a attendre la stabilisation avant de continuer les murs.

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